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Québec - 40 logements pour hypersensibles dans les Laurentides
19 Fév 2013 | Dans Accueil, Electrosensibilité reconnaissance | Réagir » } ?>
Les quarante premiers logements québécois pour les personnes hypersensibles à l’environnement seront construits prochainement dans les Laurentides. « Le 7 février 2013, la Société d’habitation du Québec nous a informé, par écrit, qu’elle a reservé 40 unités de logements pour notre projet à Mille-Isles, écrivait par courriel Rohini Peris, présidente de l’Association pour la santé environnementale du Québec. Le projet sera construit sur un terrain de 25 acres, situé dans les Laurentides. Le projet sera conçu pour répondre aux besoins des personnes souffrants d’hypersensibilités environnementales (l’hypersensibilité chimique multiple, moisissures, électromagnétique, etc.).
« Si vous êtes intéressé(e) à louer un logement dans ce projet, nous vous invitons à remplir le formulaire disponible sur notre site internet (en cliquant sur le bouton brun «Logement à prix abordable», sur notre page d’accueil) ou à nous contacter. Vous devez nous faire parvenir votre formulaire signé au plus tard le 20 février 2013, à l’adresse suivante :
Association pour la Santé Environnementale du Québec
6 Trianon, Dollard-des-Ormeaux, Québec H9A 2H8.
« Notez que pour ceux qui se sont déjà enregistrés, l’ ASEQ respectera l’ordre de l’enregistrement en cours. Cependant, il est important pour tous de remplir le nouveau formulaire.
Pour toute question au sujet de la demande de logement, contactez l’ASEQ. »
Pourquoi le gouvernement a enterré la loi sur les ondes radio - 14/02/2013
14 Fév 2013 | Dans Accueil, Médias - Presse } ?>
Source Micro Hebdo
Proposition de loi « Ondes électromagnétiques » : Un enterrement de première classe ! - 31/01/2013
1 Fév 2013 | Dans Accueil | Réagir » } ?>
Communiqué Agir pour l'Environnement & PRIARTEM - Pour une réglementation des antennes relais de téléphonie mobile
La proposition de loi relative aux ondes électromagnétiques, proposée par la députée Laurence Abeille, devait être débattue à l’Assemblée nationale ce jour. Il n’en sera rien puisqu’une motion de renvoi en commission des affaires économiques a été adoptée, synonyme d’abandon pure et simple de cette proposition de loi !
La proposition de loi relative aux ondes électromagnétiques, proposée par la députée Laurence Abeille, devait être débattue à l’Assemblée nationale ce jour. Il n’en sera rien puisqu’une motion de renvoi en commission des affaires économiques a été adoptée, synonyme d’abandon pure et simple de cette proposition de loi ! Pour que cette proposition de loi soit débattue, il faudrait qu’EELV utilise une nouvelle fois leur niche parlementaire afin qu'elle soit réinscrite à l'ordre du jour de l'Assemblée. Or, ce groupe politique ne dispose que d’une niche parlementaire par an.
Le dissensus existant le gouvernement et certains parlementaires socialistes au sujet de l’adoption du principe ALARA* semble être à l’origine de cet enterrement. Manifestement, le gouvernement craint le débat parlementaire et opte pour une certaine forme de déni de démocratie !
Cet abandon s’inscrit en droite ligne des caricatures dont nous a abreuvés la ministre en charge de l’économie numérique. En laissant entendre que la question des ondes électromagnétiques se résumerait à une accumulation de « peurs irrationnelles », la ministre en charge de l’économie numérique sort de son rôle de garante de l’intérêt publique pour revêtir les habits d’une défenseuse des intérêts bien compris des opérateurs de téléphonie mobile.
Pour les associations, il est grand temps que cette question de santé publique soit l’affaire de la ministre de la santé, grande absente de ce débat. Au regard des signaux sanitaires récurrents entourant cette question, il est profondément scandaleux que le gouvernement opte pour un enterrement de première classe d’une proposition de loi pourtant nécessaire.
* Principe qui oblige les opérateurs à exposer les riverains d’antennes à des niveaux aussi bas que possibles.
Téléphonie mobile : Là où les ministres passent… le principe de précaution trépasse ! - 30/01/2013
1 Fév 2013 | Dans Accueil | Réagir » } ?>
Communiqué de presse du 30 janvier 2013
Paris, le 30 janvier 2013 – La ministre en charge de l’économie numérique vient d’annoncer qu’elle se faisait fort de lutter contre les « peurs irrationnelles » liées aux ondes électromagnétiques. Voilà un discours que l’on pensait révolu, notamment depuis la classification des radiofréquences (antennes-relais, WiFi, compteurs intelligents inclus…) comme possiblement cancérigènes pour l’homme par l’Organisation Mondiale de la Santé, en 2011. En osant associer « incertitudes scientifiques » à des « peurs irrationnelles », la ministre prend clairement un risque, non pas sanitaire… mais pénal !
Manifestement la Ministre a oublié qu’il existe, dans nos principes constitutionnels un principe de précaution qui s’applique non pas lorsque les faits sont étayés, comme elle le dit mais suspectés.
Or, avant même la décision de l’OMS, l’Agence française de sécurité sanitaire environnementale a invité, dès 2009, les responsables politiques à réduire les expositions aux ondes électromagnétiques, qu’elles soient issues des antennes-relais ou des portables parce qu’elle avait identifié des effets sur nos organismes de l’exposition aux radiofréquences ! Pour Priartem et Agir pour l’environnement, la position de la Ministre s’assimile donc à un refus de nous appliquer les droits fondamentaux que nous reconnaît la Constitution.
Comme de mauvaises coutumes, le dossier « téléphonie mobile » est économique avant d’être un enjeu de santé publique. Symbolique à plus d’un titre, il est à noter que le gouvernement sera représenté, durant les débats parlementaires entourant la proposition de loi de Laurence Abeille, par une ministre dont la mission est clairement de développer l’économie numérique, quitte à occulter la sécurité sanitaire des usagers et riverains des antennes relais.
Au regard des signaux sanitaires connus à ce jour en matière de téléphonie mobile, la notion de « coupable mais pas responsable » si souvent invoquée en matière de crises sanitaires risque de ne pas être suffisante si un jour, un procès contre les décideurs politiques venait à être intenté !
Contact presse :
Stéphen Kerckhove – Agir pour l’Environnement – Tél. 01.40.31.02.99
Janine Le Calvez – Priartém – Tél. 01 42 47 81 54
Source : http://www.priartem.fr/Telephonie-mobile-La-ou-les.html
Parlement fédéral belge : Commission Santé : la majorité refuse la reconnaissance de l'EHS, "par manque de certitudes scientifiques".
1 Fév 2013 | Dans Accueil, Electrosensibilité reconnaissance | Réagir » } ?>
Parlement : reconnaissance EHS rejetée
Une résolution Ecolo-Groen visant à reconnaître les patients atteints d'électro-hypersensibilité a été débattue hier matin en Commission Santé publique de la Chambre. Cette résolution demandait notamment au gouvernement de reconnaître officiellement l’existence de ce syndrome comme maladie, ainsi que de reconnaître comme handicap les inadaptations et incapacités fonctionnelles qui en résultent.
Le texte demandait également à la Belgique de mener et de participer à des études scientifiques, visant à mettre à jour les mécanismes exacts de causalité entre l’exposition et les symptômes, ainsi que de ménager dans certains lieux publics des « zones blanches » exemptes d’ondes électromagnétiques, afin de favoriser l’accès aux services publics, sociaux et de santé aux personnes souffrant d’électro-hypersensibilité.
Depuis l’annonce de la mise à l’agenda de la résolution, les députés membres de la Commission Santé publique ont reçu de nombreux témoignages (et des certificats médicaux) venant de tous les coins du pays, attestant des souffrances physiques et sociales que vivent les personnes hyper sensibles et du lien entre leurs symptômes et l’intensité de l’exposition aux rayonnements électro-magnétiques. Face à une exposition non choisie et non maîtrisable, face à l’absence de traitements accessibles, ces personnes exprimaient des demandes qui rejoignaient pour le moins celles de la résolution.
L’ensemble des partis de la majorité se sont cependant prononcés contre cette proposition de résolution, arguant du manque de certitude scientifique sur le sujet. Au-delà de notre déception et de notre inquiétude face à une majorité gouvernementale peu soucieuse du principe de précaution, le groupe Ecolo-Groen déplore sincèrement les propos tenus par le groupe socialiste, dont est issue l’actuelle ministre de la Santé Laurette Onkelinx.
Ainsi, les auteurs de la résolution ont été successivement accusés de donner du crédit aux « théories de complot » entourant ce dossier, « d’utiliser politiquement la souffrance » de personnes malades, voire de « semer la panique » parmi la population. Nous espérons sincèrement que ces dérapages langagiers de députés socialistes flamands comme francophones n’engagent nullement la ministre Onkelinx, ni sa vision ou gestion politique réelle du cas des personnes atteintes d’électro-hypersensibilité.
Pour le groupe Ecolo-Groen, le combat n’est pas fini. Les écologistes suivront, dans les mois à venir, l’actualité et l’évolution des connaissances scientifiques en la matière, afin de les relayer utilement auprès des services de la ministre dans la Santé et de faire infléchir sa position en la matière.
source : http://www.tsnoy.be